Composition Chico Buarque, d‘après un poème de Joao Cabral de Melo Neto, interprétée par Zelia Barbosa en 1967.
« Sans un pays où vivre, un champ à planter, un amour à chérir ou une voix à chanter, on est mort ». dans cette complainte, Zelia Barbosa décrit les épreuves des travailleurs des plantations qui
sont exploités par les propriétaires terriens. Leur seule perspective de « posséder » un petit bout de terre : celle où sera jetée leur maigre dépouille. Accompagnée de guitare et de percussions,
Barbosa fait de la musique populaire un véhicule d'expression et d'action pour le peuple brésilien.